les français et l'école
Publié le 22 Octobre 2009
Ce matin, je suis allée sur Internet pour connaitre l'actualité (=current affairs) française. J'ai trouvé un article intéressant qui parle de l'école. Cet article explique (expliquer = to explain) que les français désirent plus d'autorité à l'école. Par exemple, les étudiants doivent se lever quand le professeur arrive dans la classe. Les Français sont contre l'uniforme (Pourquoi?? Je suis pour!). Aussi, ils pensent qu'il y a trop d'étudiants par classe. En général, ils sont contents de l'école en France.
PEUT mieux faire. Pas de doute, les Français souhaitent le retour de l'autorité à l'école. Et ils veulent que les élèves respectent cette autorité. Pour cela, pas de mystère, ils attendent davantage de discipline de la part des enseignants. Tel est l'un des enseignements du sondage réalisé la semaine dernière par la TNS Sofres pour Le Figaro, RTL et France 2 auprès de 1 000 personnes. Et, le plus surprenant, c'est que cette demande transcende désormais tous les clivages politiques (=tous les partis politiques sont d'accord sur cette idee). Mieux : toutes les générations en redemandent. Même si les sondés de droite et les plus âgés sont davantage attachés que les autres à la discipline.
Un exemple de cet attachement aux valeurs républicaines ? L'obligation de se lever quand le professeur entre en classe : 79 % des Français sont favorables à l'application d'une telle règle de vie dans les établissements. Même les plus jeunes - ceux qui la connaissaient le mieux puisqu'ils viennent de la quitter - y souscrivent. Ils sont en revanche unanimes à ne pas vouloir le rétablissement du port de l'uniforme. Une pratique jugée sans doute désuète (=tres ancienne, ce n'est plus a la mode). Autre sujet très politique et d'actualité, l'obligation d'un service minimum en cas de grève. Elle est approuvée par 77 % des sondés. Seuls les employés du secteur public sont un peu moins convaincus que ceux du privé par l'éventualité d'une réforme.
Un thème tout aussi fédérateur : le lien entre l'école et l'entreprise qui est estimé insuffisant par la majorité des sondés. Cette critique revient particulièrement souvent chez les cadres et les professions les plus aisées. Soucieux de (=ils veulent) voir leur progéniture (=enfant) la mieux armée possible pour entrer dans l'entreprise, les sondés, un rien utopiques, sont même 69 % à réclamer l'enseignement de l'anglais dès la maternelle.
Ils sont aussi très inquiets du trop grand nombre d'élèves par classe. Les parents d'élèves (=les parents d'eleves sont des parents qui representent tous les parents d'une classe. Ils assistent aux meetings avec les professeurs etc) et les plus jeunes y sont plus sensibles que les autres. Ils estiment par ailleurs que le soutien aux élèves en difficulté et l'accueil des élèves handicapés ne sont pas satisfaisants. Généreux, ils sont 89 % à souhaiter l'accueil des enfants handicapés dans les classes. Une déclaration d'intention à relativiser, car dans les faits l'accueil des enfants à l'école ne se passe pas toujours de façon idyllique (=parfaite, sans probleme).
Charge de travail convenable
Note optimiste malgré tout : les Français sont globalement plutôt satisfaits de leur école. La qualité de l'enseignement, la mixité sociale ou la charge de travail sont également considérées comme convenables (=d'un niveau acceptable). Par exemple, les parents d'élèves n'ont pas le sentiment que leurs enfants croulent sous la charge de travail (=ils pensent que leurs enfants n'ont pas trop de devoirs. Ca ne veut pas dire qu'ils en demandent plus! Ils sont satisfaits) pour eux, celle-ci est considérée comme acceptable. Le niveau de sécurité des établissements est par ailleurs considéré comme suffisant par tous sauf par les chômeurs et les retraités.
Un exemple de cet attachement aux valeurs républicaines ? L'obligation de se lever quand le professeur entre en classe : 79 % des Français sont favorables à l'application d'une telle règle de vie dans les établissements. Même les plus jeunes - ceux qui la connaissaient le mieux puisqu'ils viennent de la quitter - y souscrivent. Ils sont en revanche unanimes à ne pas vouloir le rétablissement du port de l'uniforme. Une pratique jugée sans doute désuète (=tres ancienne, ce n'est plus a la mode). Autre sujet très politique et d'actualité, l'obligation d'un service minimum en cas de grève. Elle est approuvée par 77 % des sondés. Seuls les employés du secteur public sont un peu moins convaincus que ceux du privé par l'éventualité d'une réforme.
Un thème tout aussi fédérateur : le lien entre l'école et l'entreprise qui est estimé insuffisant par la majorité des sondés. Cette critique revient particulièrement souvent chez les cadres et les professions les plus aisées. Soucieux de (=ils veulent) voir leur progéniture (=enfant) la mieux armée possible pour entrer dans l'entreprise, les sondés, un rien utopiques, sont même 69 % à réclamer l'enseignement de l'anglais dès la maternelle.
Ils sont aussi très inquiets du trop grand nombre d'élèves par classe. Les parents d'élèves (=les parents d'eleves sont des parents qui representent tous les parents d'une classe. Ils assistent aux meetings avec les professeurs etc) et les plus jeunes y sont plus sensibles que les autres. Ils estiment par ailleurs que le soutien aux élèves en difficulté et l'accueil des élèves handicapés ne sont pas satisfaisants. Généreux, ils sont 89 % à souhaiter l'accueil des enfants handicapés dans les classes. Une déclaration d'intention à relativiser, car dans les faits l'accueil des enfants à l'école ne se passe pas toujours de façon idyllique (=parfaite, sans probleme).
Charge de travail convenable
Note optimiste malgré tout : les Français sont globalement plutôt satisfaits de leur école. La qualité de l'enseignement, la mixité sociale ou la charge de travail sont également considérées comme convenables (=d'un niveau acceptable). Par exemple, les parents d'élèves n'ont pas le sentiment que leurs enfants croulent sous la charge de travail (=ils pensent que leurs enfants n'ont pas trop de devoirs. Ca ne veut pas dire qu'ils en demandent plus! Ils sont satisfaits) pour eux, celle-ci est considérée comme acceptable. Le niveau de sécurité des établissements est par ailleurs considéré comme suffisant par tous sauf par les chômeurs et les retraités.